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MAMA BREAK – journal de parentalité déconstruite et sincère par Rebecca 💜

  • Photo du rédacteur: Nicoz Balboa
    Nicoz Balboa
  • 3 nov.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 8 nov.

Couverture de MAMA BREAK
Couverture de MAMA BREAK

Pour les dernières heures du crowdfunding Strangeland, on vous présente le tout premier zine imprimé grâce à votre soutien : Mama Break, de Rebecca Fiore.


Rebecca est directrice de crèche à Bordeaux, et fait partie du Graphic Journal Club de Nicoz Balboa depuis ses débuts, à l’époque du confinement. Elle s’y est plongée comme dans un espace de respiration :


« Je fais partie du GJC depuis le COVID, donc depuis le tout début. »


Le titre Mama Break fait sourire : pour Rebecca, il signifie prendre une pause pour être pleinement maman, sans culpabiliser si l’on se plonge dans ce rôle ou dans un moment de concentration totale sur son enfant.


« Mon style est expressif. Ce n’est pas une question d’apparence ; c’est une manière de m’exprimer, de vider mon cerveau et mon cœur sur le papier. Ça m’aide à prendre du recul sur la vie quotidienne et mes pensées qui tournent trop. Mes thèmes principaux sont les émotions et la vie de tous les jours. »


Cette approche instinctive, sincère, est au cœur de la philosophie du Graphic Journal Club et de Strangeland : créer sans jugement, explorer sans perfectionnisme.

Rebecca le résume très bien :


« Le GJC m’a aidée à laisser tomber le jugement et les attentes. C’est juste du dessin : on tourne la page, et le spectacle continue. »


Au fil du temps, son processus s’est affiné :


« J’utilise maintenant des crayons de couleur. Avant, je peignais, mais j’avais besoin que mon processus soit plus rapide et coloré. »


Mama Break naît de ce besoin : dire, colorer, comprendre, tout en continuant d’avancer.


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Et c’est aussi la première publication officielle du label Sur un Malentendu, la micro-édition queer et artisanale de Strangeland.

Une blague devenue réalité : née d’un chien, d’un malentendu, et d’un besoin collectif de faire exister nos récits, nos zines, nos voix.


Grâce à la campagne participative, Strangeland va pouvoir s’équiper d’une imprimante professionnelle, d’un iPad et de mobilier inclusif pour imprimer et relier ses propres fanzines, accueillir plus d’ateliers et faire vivre un espace créatif et safe à La Rochelle.


Soutenir Strangeland, c’est soutenir des artistes comme Rebecca, et faire grandir une parole libre, queer et bienveillante.

🌀 Dernières heures pour participer au crowdfunding !


Et je vous laisse avec una galerie d’images tirées de quelques pages de Mama Break, j’espère que ces pages vous donneront envie de participer au crowdfunding pour supporter la micro édition de ce Zine:







 
 
 

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